Depuis son déménagement récent dans les bureaux de l’ancienne MRC situés sur deux étages, l’Associations de la déficience intellectuelle de la région de Sorel-Tracy (ADIRS) fait face à certaines difficultés en raison de la mobilité réduite de certains de ses usagers. Afin de leur donner un coup de pouce, les franciscains ont offert un don de 50 000 $ à l’organisme afin qu’il puisse faire l’installation d’un monte-personne dans ses nouveaux locaux. Les frères espèrent donc faciliter les activités de l’association en fournissant les sommes nécessaires pour l’installation de cet appareil.
Puisque les bureaux de l’ADIRS sont loués, la Ville de Sorel-Tracy s’engage à relocaliser l’équipement financé par le don advenant un déménagement de l’organisme (afin que le monte-personne demeure en tout temps la propriété de l’ADIRS).
Julie Trudeau, directrice générale de l’ADIRS, s’est dit vraiment touchée par cet élan de générosité des Franciscains : « Nous sommes extrêmement reconnaissants envers les Franciscains de nous permettre de rendre accessible notre bâtiment à l’ensemble de nos membres » a souligné Julie Trudeau.
M. Simon Grondin, représentant des Franciscains, a tenu à expliquer ce qui a motivé ce don : « Les Franciscains ont été présents pendant plus d’un siècle, sur le territoire de Sorel-Tracy, et ont toujours supporté les familles par leurs actions charitables. Ils voulaient donc laisser un legs de leur présence en aidant un organisme qui supporte lui aussi la communauté depuis de nombreuses années » a expliqué M. Grondin.
Le maire de la Ville de Sorel-Tracy, Serge Péloquin, a lui aussi tenu à souligner la générosité de ce don effectué par les Franciscains envers l’ADIRS, un organisme accrédité par la Ville de Sorel-Tracy « Grâce à ce beau geste des Franciscains qui ont toujours prôné l’entraide envers leurs semblables, l’ADIRS pourra poursuivre sa mission qui est de promouvoir et défendre les droits liés à la déficience intellectuelle en suscitant le regroupement de ces personnes, en organisant des activités et en favorisant leur intégration » a rappelé M. Péloquin.